Après avoir déposé les gerbes de fleurs, l’Ambassadeur du Japon à Madagascar a réitéré le désir du gouvernement et du peuple japonais d’améliorer et agrandir les cadres de coopérations qui existent déjà entre son pays et Madagascar
Ichiro Ogasawara, Ambassadeur du Japon en poste à Madagascar et Ono Tomoyuki, premier secrétaire de l’Ambassade du Japon à Madagascar ainsi que Yasutoshi Nishimura, conseiller spécial au Premier Ministre du Japon, qui est aussi président du Parti Démocratique Libéral de l’Empire du Soleil levant étaient à Antsiranana le mercredi 25 août pour diriger une cérémonie en hommage aux soldats japonais morts en terre étrangère.
Une cérémonie a eu lieu au monument dédié aux quatre soldats japonais derrière le centre hospitalier universitaire. Le matin du 26 août, une autre cérémonie d’hommage commémorative a eu lieu au cimetière de guerre du Commonwealth d’Antsiranana en présence des autorités locales, civiles et militaires, ainsi que d’Alex Totomarovario, superviseur honoraire de la commission des cimetières de guerres du Commonwealth à Antsiranana. Des étudiants de l’université, issus du département des études anglo-américaines étaient aussi présents sur les lieux, pour montrer leur solidarité à l’événement. Les allocutions d’Ichiro Ogasawara et de Yasutoshi Nishimura portaient sur le désir qu’a le gouvernement japonais et eux-mêmes d’œuvrer pour la paix mondiale. De faire tout leur possible afin que ce rêve planétaire puisse voir le jour. Yasutoshi Nishimura a souligné que « Se souvenir, prier, honorer et garder dans le cœur… voilà des façons pour remercier ceux qui se sont battus dans le passé pour que notre présent soit meilleur. Et améliorer ce présent est de notre devoir afin que les âmes des soldats tombés sur le champ de bataille puissent trouver la paix ». Après avoir déposé les gerbes de fleurs, l’Ambassadeur du Japon à Madagascar a réitéré le désir du gouvernement et du peuple japonais d’améliorer et agrandir les cadres de coopérations qui existent déjà entre son pays et Madagascar.
■ Luis K.