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Catégorie : Société
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C'est la deuxième vague de la formation des fusiliers marins du 2ème RFI depuis la reprise de la coopération militaire France-Madagascar
C'est la deuxième vague de la formation des fusiliers marins du 2ème RFI depuis la reprise de la coopération militaire France-Madagascar

La deuxième action depuis la reprise de la coopération militaire France-Madagascar a été réalisée du 20 au 29 janvier 2015 à Ramena. Il s’agissait d’un stage en aguerrissement nautique avec différents procédés de détachement dans l’eau et sur l’eau, exercice de tir et combat

18 instructeurs du détachement de la légion étrangère de Mayotte (DLEM) étaient à Antsiranana pour former 60 stagiaires des 1ère et 2ème compagnie du 2ème régiment des forces d’intervention (2ème RFI) et cinq marins de la base navale. Le Chef de bataillon Loïc Poudret, chef du bureau opération et instruction du DLEM affirme que cette deuxième vague de stagiaires était moins expérimentée que la première, formée en décembre 2014, qui avait en plus, plus d’aisance dans la langue française. Ce stage a été clôturé par un VIP day organisé dans l’après-midi du 29 janvier sur le terrain de la base navale à Ramena. Les stagiaires les plus méritants ont obtenu leurs diplômes. Une démonstration dynamique s’est tenu sur la plage pour montrer ce qu’ont appris les stagiaires. Tous les stagiaires étaient engagés dans cette démonstration qui consistait en de largage rapide de palmeurs, dessalage et resalage, technique opérationnelle rapprochée… Une série de discours a clôturé le VIP day auquel ont assisté les autorités militaires malgaches dirigées par le commandant des forces d’intervention de l’armée malagasy, le Général de Brigade Rabetokotany Jean Andrianaivosoa. La présence du commandant de compagnie de Mayotte ainsi que le chef du bureau opération et instruction du DLEM validait la formation. La cérémonie devait commencer à midi, mais l’attente des autorités militaires a reporté de deux heures le début de la cérémonie. Des invités sont partis. Le Général de Brigade Rabetokotany Jean Andrianaivosoa expliquait que le véhicule qui le transportait était en panne.

■ V.M