L'IST-D est le seul établissement public à Madagascar à former des techniciens supérieurs et des techniciens supérieurs spécialisés dans le secteur de la banque et des assurances

En quelques semaines d’intervalle, l’Institut Supérieur de Technologie de Diego (ISTD), signe sa deuxième convention de partenariat avec une tierce institution. Pour cette fois-ci, il s’agit de la banque BNI Madagascar.

Les conventions de partenariats que l’IST signe se suivent, mais ne se ressemblent pas. En effet, après celle signé avec la société Logistique Pétrolière (LPSA), ce jeudi 8 décembre, ce fut le tour de la banque BNI Madagascar. Dorénavant, la BNI Madagascar renforcera l’accompagnement des étudiants de l’ISTD dans le cadre de leur formation universitaire, mais également, cette banque a l’intention de recourir aux expertises de l’ISTD dans la formation des collaborateurs de la banque. La BNI Madagascar s’engage à prendre des étudiants de l’ISTD en tant que stagiaires puis comme salariés pour les meilleurs. De son côté, l’ISTD s’engage à renforcer les compétences des employés de la BNI Madagascar dans le domaine bancaire qui peut être effectué par des cours à distance selon Lova Razakariasy. La BNI Madagascar a choisi l’ISTD pour la raison que « l’ISTD a pour vocation de former des futurs managers dans le nord de Madagascar, et ce, pour accompagner la banque dans la concrétisation de son plan stratégique de développement » d’après Alexandre Mey, directeur général de la BNI Madagascar. Selon le directeur d’établissement de l’ISTD, Lova Zakariasy, cet institut est « le seul établissement public à Madagascar à former des techniciens supérieurs et des techniciens supérieurs spécialisés dans le secteur de la banque et des assurances ». Elle a également insisté sur le fait qu’une des principales préoccupations de l’établissement est d’être en phase avec les entreprises afin de mieux répondre à leurs besoins. Aussi, « l’ISTD n’a cessé de se développer et d’apporter sa contribution au développement de la Région DIANA et de Madagascar en général par un apport continu de techniciens et d’ingénieurs de haut niveau » poursuit-elle.
■ Raitra

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