Les débats portant sur 39 indicateurs prédéterminés sur l’environnement médiatique se sont tenus deux mois avant que le Parlement ne valide le code de communication. Celui-ci n’a donc pas été spécialement porté dans les débats qui se sont déroulés du 15 au 17 avril 2016, mais les participants (les panélistes), ont souligné les manipulations dont la presse malagasy est déjà victime. Suivant le critère selon lequel « la législation sur les médias est le résultat de concertations approfondies entre les institutions, les citoyens et les groupes d’intéressés », les panélistes ont évoqué le fait que la discussion qui précédait la présentation du projet de loi portant code de la communication n’était qu’un moyen pour les dirigeants politiques de gagner une certaine crédibilité vis-à-vis du public. Durant le débat, il a déjà été rapporté que les journalistes « ont le sentiment amer d’avoir été consultés « pour que la loi passe » et ont peu d’espoir dans ce code de communication ».La commission composée de douze experts, journalistes, experts en médias, juristes, sociologues, acteurs économiques et syndicalistes, représentants d’organisations de la société civile, évalue la situation des médias et attribue des notes pour chacun des 39 indicateurs. « Le rapport final est un résumé qualitatif de la discussion et indique également les notes moyennes pour chaque indicateur, secteur et la note finale du pays » lit-on dans le document. Ainsi « le baromètre des médias africains est une analyse qui permet d’évaluer l’environnement médiatique d’un pays tout en servant d’instrument de lobbying pour les réformes dans le secteur des médias ».Ce baromètre des médias concerne la situation de la presse, de l’industrie des médias et de la liberté d’expression à Madagascar.
Deux artistes réunionnais et trois jeunes dessinateurs malagasy sont rassemblés autour d’une résidence itinérante intégrée à trois festivals emblématiques : « Gasy Bulles » à Antananarivo, « Embarquement immédiat » à St Denis, La Réunion, et la semaine de la BD à Diego Suarez. Nino, Andry Nirina Andriambololona, dessinateur d’Antsiranana fait partie de ce groupe dont les membres ont été minutieusement sélectionnés par les porteurs du projet. Le groupe est encadré par le bédéiste malagasy Eric Andriantsialonina, Dwa, et l’éditeur réunionnais Jean Luc Schneider.
Tous les matins, Bito se lève à 5h30 pour être au marché dès 6h pour acheter ses ingrédients et faire les courses qu’elle n’a pas pu faire l’après-midi. Elle arrive sur le lieu de travail vers 5h du matin pour disposer le mobilier et s’occuper de la cuisson. A 6h30, Bito est de retour du marché, elle peut enfin recevoir ses premiers clients et ce jusqu’à 12h30. Le temps qu’elles fassent la vaisselle et rangent les affaires, les deux femmes qui l'aident rentrent vers 14h30. Bito quitte son lieu de travail, situé non loin de l’hôtel Nosy Be à Tanambao Tsena, dès qu'il n'y a plus de clients. Arrivée chez elle, elle peut enfin se reposer et attendre l’heure du marché de l’après-midi. Elle va au marché le matin et l’après-midi pour pouvoir acheter tout ce dont elle a besoin pour son commerce. Depuis la naissance de sa fille en 2008, elle vend en effet ses brochettes également le matin. Les clients sont devenus plus nombreux de jour en jour. Son travail a considérablement augmenté et elle n’arrivait plus à gérer seule l’affaire. Alors pour agrandir son commerce et suivre le nombre de clients, elle a engagé deux femmes pour l’aider à servir ses clients, à effectuer les cuissons et autres services. Un homme s’occupe d'aller chercher de l’eau régulièrement et un pousse-pousse porte les affaires avant et après la vente. Elle travaille du lundi au dimanche.
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N°182 | |
Semaines du 12 au 25 avril 2017 | |
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