Les acteurs de la formation d’Antsiranana se sont mobilisés durant ces deux jours pour informer le public sur les dispositifs de formation existants et conseiller en termes d’orientation professionnelle, d’évolution de carrière ou encore pour acquérir de nouvelles compétences. Notons qu’à Antsiranana il y une vingtaine de centres de formation professionnelle et d’instituts d’enseignement supérieur privés.
L’association JAIDI « Jazz’in’Diego » et L’Alliance Française présentaient ce vendredi 24 septembre lors de sa troisième soirée un mélange des genres allant du Salegy, en passant par la Bossa-Nova de l’école de Jazz de JAIDI, au Blues des Blues Fathers et le gospel de Diego Hope Choir qui fêtait à cette occasion son premier anniversaire.
C’était l’occasion d’annoncer plusieurs projets de construction et de réhabilitation de batiments collectifs dans la ville
Ce qui est inquiétant c’est que la plupart de ces jeunes ne savent rien de leur sexualité à part les quelques informations de base données en CM2. C’est alarmant lorsqu’on sait que 49,7% de la population antsiranaise a moins de 15 ans
Rude tâche ! En effet, en 1910, les routes ne sont pas nombreuses.
Voyons ce qui s’offre à lui…
C’était le moment pour l’Afrique de faire un bilan sur ce qui a été réalisée ces dix dernières années. En effet, cela fait maintenant dix ans que le comité réglementaire et le comité d’éthique africains ont accepté d’introduire la médecine traditionnelle dans le domaine de la santé publique. 80% de la population africaine préfèrent en effet recourir aux guérisseurs traditionnels.
Diégo-Suarez…Un nom qui fait rêver les amateurs d’aventures et d’exotisme du début du siècle…Suivons donc notre touriste-aventurier-explorateur…
Contrairement à ce qu’on pensait qu’il se passerait en cette période de crise, les petites et moyennes entreprises fleurissent à Diego depuis le début de l’année. L’image de la ville est ainsi transformée, d’autant plus que les jeunes sont à l’origine de cette initiative.
23 août dernier, le bruit courrait à Nosy Be qu’un bébé baleine se serait échoué sur la plage d’Ambatoloaka, en face de l’hôtel-restaurant L’Espadon. Après constatation des scientifiques du Centre national de recherches océanographiques de Nosy Be sur le lieu, il s’agissait en fait d’un cachalot d’à peu près 11m de long. Les scientifiques ont prélevé de la chair de ce mammifère marin afin de connaître la cause de sa mort car le cachalot était déjà sans vie (on ne sait depuis combien de temps) lorsque l’on l’a découvert.
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N°182 | |
Semaines du 12 au 25 avril 2017 | |
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Le syndicalisme n’est pas qu’un mouvement de revendications | |
Les premières années de Diego Suarez - 1925-1930 : Diego Suarez, capitale de la contestation coloniale | |
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