Efa manitra ny fety eto an-tananan’i Diego. Andro vitsy sisa dia ho tonga ny 26 jona, andro hankalazana ny faha 50 taona nahazoan’i Madagasikara ny fahaleovan-tenany. Ratsy fahatongavana ve ity fety ity sa kosa hitondra rivo-baovao ho an’ny firenena?
En 1905, la Russie et le Japon se faisaient la guerre. Dans ce contexte, la flotte russe de la Baltique tenta de rejoindre le Japon par le sud en faisant escale à Nosy Be. Les marins russes y passèrent deux mois et demi de fête arrosés au...cognac. Avant d’être battus par le Japon.
Le jatropha est un arbuste endémique Madagascar qui a l’avantage d’être très rustique et de supporter la saison sèche de notre région. J-OIL a créé une ferme expérimentale en 2008 pour affiner le procédé de culture à la région. Aujourd’hui elle passe à la phase de production.
La Montagne d’Ambre se consume lentement mais surement. Pour arrêter le feu le MNP (Madagascar National Park) a fait appel au nouveau BIANCO (Bureau de lutte Anti Corruption). Pour le représentant du MNP, Herman Edmond « cette aire protégée fait l’objet d’un défrichement criminel sans précédent ». La convention passée avec le BIANCO serait susceptible de limiter le défrichement. On peut se demander pourquoi ? Pourquoi les pompiers, les policiers et la justice, ainsi que le personnel du MNP et les élus n’arrivent pas à juguler ce fléau ? Le BiANCO a fait savoir qu’il allait mettre en place un dispositif anti corruption dans les communes rurales concernées. Cela commencera peut être par offrir des lunettes à ceux censés défendre la forêt, pour voir ce que tout le monde voit tous les jours : des fumées de feux, des sacs de charbon de bois qui sortent de la forêt dans des taxi-be surchargés et arrêtés aussi quotidiennement par la police.
Le BIANCO dont la fonction est de lutter contre la corruption fait cependant preuve d’une discrétion remarquable quand aux résultats de ses investigations.
A.P.
En cette période de festivités, le mondial de football, les 50 ans de l’indépendance, les autorités régionales ont tenté de mettre un frein à l’insécurité qui avait connu à nouveau un regain de force. Une opération menée jusqu’au 12 juin, a conduit à l’arrestation d’une douzaine de Foroches, tandis que les forces de l’ordre ont été plus présentes dans la ville. Sera-ce suffisant pour régler le problème? Non, mais malheureusement, il est aussi émnimemment lié à l’instabilité politique.
Néanmoins, les autorités appelent la population à un minimum de bon sens et de prudence. On sait bien que les fêtes populaires et les rassenblements peuvent toujours donner lieu à des troubles causées par des éléments incontrôlés. L’effet de l’acool ou d’autres stupéfiants consommés à ces occasions ne peuvent qu’agraver la situation
C’est avec plaisir que les transporteurs de la gare routière qui a été rasée, se sont installés le long du cimetière de la ville d’Antisranana. «Nous sommes très bien ici», raconte une des gérantes d’une des compagnies qui fait la liaison vers Mahajanga, Tuléar et Tana. Installés dans des kiosques mis en place par les autorités locales, les transporteurs ne semblent pas regretter le brutal changement de cadre de vie qui leur est proposé: il y a davantage de gargottes, c’est plus propre, c’est plus proche aussi des clients....
Les seuls qui ont perdus leurs affaires dans ce déménagement temporaire, sont les petits hôtels et restaurants qui bordaient le terrain poussiéreux de la gare routière et qui n’ont pu se réinstaller en ville.
« La mairie nous a dit que nous allons avoir un nouveau bâtiment, derrière une station d’essence Jovenna», explique encore l’un des transporteurs, « d’ici six mois ou un an».
En effet, c’est une toute nouvelle gare routière qui est en projet. Sur la route à la hauteur de l’ancien batiment, il y aura une station d’essence Jovenna et derrière la station sera installée la gare routière.
Jovenna est évidemment impliquée financièrement dans le projet, puisqu’elle va bénéficier en contrepartie d’un emplacement de choix, le dernier en quittant Diego, sur la route d’Ambilobe, d’Ambanje , Nosy Be et de Tana.
La quasi absence de signalisation dans les rues de la ville est du à de multiples causes : vandalisme, érosion naturelle, « recyclage » des panneaux en tôle et absence de moyens financiers. On pourrait penser que l’absence de signalisation entraine une augmentation des accidents de la route. Or, d’après le commissaire de police Christ Noelson, ce n’est pas le cas. Les explications avancées sont que l’état des rues ne permet pas de conduire à des vitesses excessives sans abimer son véhicule. L’autre est que les conducteurs locaux sont parfaitement habitués à cette situation et en tiennent compte dans leur conduite. Néanmoins, ces explications ne sont pas valables pour les conducteurs étrangers à la ville, de sorte que bien souvent les automobilistes d’Ambilobe, de Tana ou d’ailleurs peuvent se voir infliger des amendes pour infraction à la signalisation routière disparue. L’incompréhension amène parfois à des rapports rugueux entre ces conducteurs et la police.
Le 19 juin, les représentants de l’AREMA et de la mouvance Zafy, qui logeaient à l’Hôtel de la poste, se sont réunis au stade Mitabe avec la Mouvance Ravalomanana. Comme il était prévisible, l’opposition s’oppose. Elle s’opposait à Andry Rajoelina comme candidat à l’élection présidentielle ; elle s’oppose aujourd’hui à Andry Rajoelina comme non candidat, en lui prêtant l’intention de devenir premier ministre avec tous les pouvoirs.
En pleine saison thonière, nous avons pu recueillir d’Albacora, l’une des premières compagnies mondiales de thoniers, fidèle depuis 18 ans, au port de Diego Suarez et à son entreprise la Secren, son avis et ses appréciations sur l’escale à Antsiranana. D’après ses responsables, très attachés à Diego Suarez, le principal avantage du port tient à son emplacement au fond d’une baie abritée, juste à côté de la plus importante zone de pêche de thons.
Quelle que soit la conjoncture actuelle, la perte de clients qui menace le chantier naval de la Secren, les hypothèques qui pèsent sur son avenir face à la concurrence, le chantier naval de Diego Suarez veut fêter ses 35 ans d’existence avec optimisme et une multitude de festivités, -notamment des animations musicales, sociales et culturelles, destinées à interpeller la population, mais également les partenaires nationaux et internationaux du chantier naval qui seront invités aux festivités.
Pick-up mitsubishi l200 sportero
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tel: 032 66 651 75
N°182 | |
Semaines du 12 au 25 avril 2017 | |
La Une : | Gendarmerie nationale DIANA : Restaurer la confiance pour endiguer la vindicte populaire |
Le syndicalisme n’est pas qu’un mouvement de revendications | |
Les premières années de Diego Suarez - 1925-1930 : Diego Suarez, capitale de la contestation coloniale | |
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