« Les femmes et les filles doivent être prête à prendre part à la révolution numérique. Seuls 18 % des détenteurs d’un diplôme en sciences informatiques du premier cycle universitaire sont des femmes à l’heure actuelle. Nous devons parvenir à une évolution significative du nombre de filles qui choisissent d’entreprendre des études dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques dans le monde, si l’on veut que les femmes puissent prétendre réussir leur sélection aux emplois de « nouvelle génération » bien rémunérés. Les femmes ne représentent actuellement que 25 % de la main d’œuvre de l’industrie numérique », ainsi s’est exprimée la directrice exécutive d’ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka, à l’occasion de la journée internationale des femmes ce 8 mars. C’est également une réalité à Madagascar. Rare sont les jeunes filles qui choisissent de poursuivre leur étude dans le domaine du numérique et des nouvelles technologies qui est pourtant un secteur clé en ce temps. Badory Soavinjara Claudiane Victoria fait partie de cette minorité de filles.
Lors de la matinée du mardi 7 février, Nicolas Livache, cofondateur de la société Majika qui vise au développement économique et social des zones rurales, ainsi que son jeune stagiaire porteur de projet, rencontrent Bruno Asselin, le Principal du Collège français Sadi-Carnot dans le cadre d’une explication sur le lancement d’un projet de développement durable, consistant à valoriser une ressource au niveau de l’établissement, la recycler et la réutiliser afin de participer à l’électrification de la campagne et du monde rural. Le projet proposé par le jeune stagiaire, Esteban Bigot, qui n’est autre qu’un jeune élève de 3e du Collège français, tourne autour du fait de donner une deuxième vie à l’huile usagée, dans la continuité du projet lancé par Moustapha Zafilahy et Marine Ridoire, deux ingénieurs diplômés en hydraulique-énergétique et en eau-environnement, en juillet 2016. Encadrés par l’ONG Azimut, ils souhaitaient valoriser à long terme un « bio-déchet », qui n’était autre que les huiles alimentaires usagées, en biocarburant.
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![]() | N°182 |
| Semaines du 12 au 25 avril 2017 | |
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