La Jeune Chambre Internationale (JCI) de Madagascar organise comme chaque année sa Convention nationale. En 2011, c'est la JCI de Nosy Be qui a l'honneur d'accueillir cet événement d’envergure. Du jeudi 29 septembre au samedi 1er octobre 2011, plus de 300 jeunes des 4 coins de l'île se réuniront "pour apprendre, échanger et œuvrer pour un développement positif. Trois jours pour se rencontrer, suivre des formations et travailler pour un avenir meilleur."
La Compagnie Zolobe, bien connue des habitants de la région pour être l’organisatrice du festival de théatre de rue « Zegny Zo ! » était en tournée ces dernieres semaines dans six communes rurales voisinnes de Diego Suarez.
Selon l’agence d’étude stratégiques et de notation StrategiCo, pour ce mois de septembre 2011 qui vient à peine de commencer, Madagascar se trouve parmi les pays à risque très élevé avec une note de 10,6 à 11. Font partie de la liste avec la Grande île, les pays comme le Zimbabwe, la RDC, Cameroun, Burkina Faso, le Tchad, etc.
Un atelier de mise en place de l’approche « Société toute entière » dans le cadre de préparation et réponse aux pandémies, aux épidémies et autres catastrophes s’est déroulé durant trois jours, les 30-31 août et 1er septembre à l’Hôtel de la Poste de Diego Suarez.
Cet atelier était financé par l’OMS, PNUD, le bureau de coordination des affaires humanitaires et l’OMS en partenariat avec la Croix Rouge Malagasy.
Une forte délégation du BNGRC (Bureau National de Gestion des Risques et Catastrophes) était présente ; le BNGRC en tant que coordonnateur national appuie les structures décentralisées.
Après une période de calme relatif quant aux problèmes de sécurité, un nouveau cas de violence avec arme s’est produit le 1er septembre au Bazarikely. Un homme de confession musulmane a été pris à partie et bléssé au couteau dans une échauffourée alors qu’il se rendait à la mosquée.
Alors qu’ils attendaient un taxi brousse pour rejoindre en matinée l’île de Nosy Be pour assister à un mariage, un couple de français d’une trentaine d’années a été violemment agressé à 2h15 du matin dans la nuit du vendredi 1er au samedi 2 septembre.
La construction du nouveau lycée technique de Dzamandzar est en cours. Selon le Secrétaire Général du Ministère de l’enseignement technique et de la formation professionnelle M. Georges Rakotonirainy, il est prévu que ce lycée ouvrira ses portes à partir de l’année scolaire 2011-2012. Les élèves pourront y suivre des formations en mécanique automobile, en électrotechnique et en électronique.
■ V.M
Afin d’améliorer les services fournis aux usagers, une formation relative à la gestion du personnel des ministères s’est tenue à l’ex-Palais du Faritany d’Antsiranana durant la semaine du 16 août 2011. Cette formation entre dans le cadre de la mise en place de la GPEC ou Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences. Le but est de donner de la performance à chaque ministère et de rendre performant aussi chaque agent de l’Etat en le plaçant dans le poste où il est le plus compétent. Cela afin de lutter contre la corruption et redonner de la confiance aux usagers. Ces derniers se plaignent en effet trop souvent de l’incompétence de certains fonctionnaires.
La GPEC sera appliquée à partir de 2012.
■ V.M
Les représentants de la délégation spéciale de Nosy-Be d’un côté et les experts de Pompiers Humanitaires Français de l’autre côté vont collaborer pour que la ville puisse avoir le service des pompiers. C’est un entrepreneur touristique qui a rendu possible cette rencontre.
Cela fait en effet des années que Nosy-Be n’a plus de pompiers. En cas d’urgence, on fait appel à l’ADEMA qui se trouve à 12 km de la ville.
Le festival « Sorogno Cacao » se déroulera du 1er au 4 septembre 2011 dans le Disctrict d’Ambanja, dans la Région DIANA au nord de Madagascar.
Le mot « sôrogno » désigne la marée. Pendant la pleine et la nouvelle lune, le niveau de la mer atteint son niveau maximum. On dît que la mer est « sôrogno samonta », en malgache. C'est une période pendant laquelle la nature du paysage côtier acquiert une beauté sensationnelle où toutes calamités naturelles sont bannies. Faunes et flores se livrent à un concert où beauté et harmonie agissent à l'unisson pour donner une atmosphère agréable et nostalgique.
Durant la dernière décennie, la région du Sambirano a connu des difficultés quant à la filière cacao: production, qualité du produit, marché exterieur, vols,... Eu égard à cette situation, l’ONG Sambirano Organisation pour le Développement Opérationnel et Garanti du Nord (SOROGNO) a décidé d'organiser le festival «Sôrogno-Cacao» dont l'objectif est de relancer la filière Cacao de la région du Sambirano en faisant connaitre ses potentialités économiques.
Diverses activités sont proposées au cours de ces quatre jours de festivités :
Exposition-vente de produits agricoles tels le cacao, qui fait la renommée de la Vallée du Sambirano (techniques de plantation, technique de traitement post récolte, etc..) ;
Projections sur écran géant de films documentaires concernant la filière cacao ;
Activités sportives (traditionnelles et modernes) dénommées « Grand Prix Cacao » ;
Activités culturelles (danses et chansons folkloriques, mode d’habillement et vestimentaire) ;
Sensibilisation à la préservation de l’environnement et à la lutte contre le SIDA ;
Animations artistiques, concerts.
A partir du 1er septembre à 20 h, un diner-dansant et un concours « miss et mister » est organisé. A partir du deuxième jour du festival différents artistes de renommée se produiront sur scène : Djella, Norah, Rossy, Fandrama, Perle Noire, Rivera, Wawa, et bien d’autres artistes locaux.
Venez nombreux, ambiance maximum !
Programme, informations, réservations : www.festival-sorogno.com
Benji
Pick-up mitsubishi l200 sportero
10000 euros
tel: 032 66 651 75
N°182 | |
Semaines du 12 au 25 avril 2017 | |
La Une : | Gendarmerie nationale DIANA : Restaurer la confiance pour endiguer la vindicte populaire |
Le syndicalisme n’est pas qu’un mouvement de revendications | |
Les premières années de Diego Suarez - 1925-1930 : Diego Suarez, capitale de la contestation coloniale | |
Dossier : | Athlétisme : « Nous pouvons faire mieux avec des soutiens financiers » |